31 mai 2025

Renversé aux poires et au cacao


Il ressemble à celui que j’ai déjà publié* mais le sirop, qui se compose de sirop d’érable, de cassonade et de lait de coco, ajoute une note caramélisée à l’ensemble du gâteau. Excellent petit renversé, le sirop pénètre jusqu'au centre de la pâte et la rend moelleuse. Un peu plus sucré toutefois, on servira de plus petites pointes...! :) 


Ingrédients pour 6 ou 8 portions

1 tasse de farine tout usage

4 c. à soupe de cacao

1 c. à thé de levure chimique + 1/4 de bicarbonate de soude

1/4 c. à thé de sel

2 poires, pelées et coupées en tranches

1/4 tasse d’huile de pépins de raisin ou autre huile végétale neutre

1/2 tasse de cassonade

2 oeufs 

1/3 tasse de boisson soya à la vanille ou de lait


Sirop à l’érable

1/2 tasse de sirop d’érable

1/2 tasse de cassonade

1/3 tasse de lait de coco ou crème légère


La cuisson se fait dans un four à 400 °F  (200 °C) dans une assiette à tarte en céramique, et dure 35 minutes.


1. Dans une casserole, sur feu moyen-vif, porter les ingrédients du sirop à ébullition, puis laisser mijoter pendant 1 minute. Verser au fond de l’assiette. Ajouter les poires et réserver.


2. Dans un bol moyen, battre la cassonade avec l’huile au fouet. Ajouter les œufs et bien mélanger.


3. Dans un bol plus petit, mélanger la farine, le cacao, la levure chimique, le bicarbonate et le sel.


4. À la cuillère, incorporer ces ingrédients secs dans le mélange aux oeufs en alternant avec le lait de coco. 


5. Répartir la pâte sur le sirop et les poires. Enfourner entre 30 à 40 minutes, moi 35, ou jusqu’à ce qu’un cure-dents inséré au centre du gâteau en ressorte propre.


6. Laisser tiédir le gâteau avant de le renverser sur une assiette. 


*Adaptée de la recette publiée dans La cuisine de Messidor,

https://lacuisinedemessidor.blogspot.com/2022/12/renverse-surprise-aux-poires-et-au.html




Qui a peur du mot génocide ?


« Le journal L’Humanité a décidé de le mettre en une la semaine dernière. Libération a publié la lettre de 300 auteurs y ayant recours. Les représentants mondiaux d’Amnistie internationale l’emploient tous les jours. Le général Roméo Dallaire ne fait aucun détour. Plus de 900 avocats et anciens juges britanniques l’ont brandi cette semaine.

« L’utilisation du mot génocide pour parler de la situation à Gaza se répand de plus en plus.


« À un point tel qu’il est en train de devenir un marqueur politique. Dans plusieurs cercles progressistes, reconnaître l’existence d’un génocide commis par Israël contre les Palestiniens de Gaza, et ce, même si aucun tribunal international n’a statué sur la chose, c’est être du côté de la vertu, du courage. À l’inverse, refuser de l’employer, c’est de la lâcheté, voire de la complicité avec le gouvernement d’extrême droite de Benyamin Nétanyahou.


« Mais la pression ne vient pas que de là. Dans les cercles pro-israéliens, l’utilisation du terme est vue comme une hérésie. Une insulte profonde à l’histoire des Juifs qui ont subi l’Holocauste et dont les plus profondes blessures ont été ravivées par les attaques du Hamas du 7-Octobre.


« Entre les deux, un immense fossé.


« En principe, c’est la Cour internationale de justice (CIJ), saisie par l’Afrique du Sud en décembre 2023, qui a la responsabilité d’établir si Israël commet un génocide selon les termes de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, adoptée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, s’il faut se fier au passé, cette cour mettra de nombreuses années à trancher sur le fond de la question.


« Le tribunal a cependant trouvé assez de raisons de s’inquiéter pour imposer à l’État hébreu trois séries de mesures conservatoires – en janvier, mars et mai 2024.


« Ces dernières, qui ordonnent notamment à Israël de mettre fin à ses opérations militaires à Gaza, ont été largement ignorées par le pays visé, sans grande conséquence. Les mandats d’arrêt lancés contre le premier ministre Benyamin Nétanyahou2 et contre l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant3, qui sont suspectés de « crimes de guerre consistant à affamer délibérément des civils » et de crimes contre l’humanité « de meurtres, de persécutions et d’autres actes inhumains », restent lettre morte.


[...]


« De plus en plus de voix, auxquelles j’ajoute la mienne, demandent qu’on reconnaisse l’extrême gravité de la situation et qu’on agisse en conséquence.


« Parce qu’une fois qu’on a dit le mot génocide, qu’est-ce que ça change ? Rien et tout, en même temps.


« Rien, parce que les avertissements qu’ont émis les tribunaux internationaux, les Nations unies et les grandes organisations humanitaires et des droits de la personne auraient dû suffire à faire passer les gouvernements occidentaux, alliés d’Israël, à l’action. Mais nous n’avons vu que des mises en garde timides à ce jour, dont le dernier coup de semonce du Canada, de la France et de la Grande-Bretagne.


« Tout, parce que les pays qui ont signé la Convention sur les génocides sont tenus légalement d’agir pour les prévenir ou pour les arrêter, sans quoi ils peuvent être tenus responsables lors d’un éventuel procès. Et cette obligation d’agir peut prendre plusieurs formes. Suspendre les liens diplomatiques et les ententes avec Israël, mettre fin à tout transfert d’armes, sanctionner les individus et les organisations qui ont un lien avec les crimes reprochés. Même une intervention militaire pour faire cesser le carnage doit être envisagée.


« Je sais, ce sont des responsabilités lourdes pour les gouvernements, liées à l’utilisation du mot génocide, mais les conséquences de ne rien faire ou de n’en faire pas assez sont beaucoup plus graves. »


Extraits de la chronique intitulée

Est-il temps de parler de génocide ?


Laura-Julie Perreault

La Presse

Le 31 mai 2025

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30 mai 2025

Il y a un an, la justice faisait de Donald Trump un criminel

 


« L’histoire n’avait finalement pas encore été complètement écrite, le 30 mai 2024 à New York, lorsque Donald Trump est devenu le premier ex-président des États-Unis condamné dans un procès au criminel, par un jury formé de 12 citoyens ordinaires. Sa culpabilité a été reconnue sur toute la ligne pour les 34 chefs d’accusation auxquels il faisait face, pour manipulation comptable et dissimulation de pot-de-vin.


« Un an plus tard, jour pour jour, la charge juridique et symbolique de ce verdict historique ne pèse plus seulement sur les épaules du populiste, mais désormais aussi sur celles d’une nation tout entière qui, massivement, s’est levée en novembre dernier non pas pour le rejeter, mais pour le porter, par les urnes, à la plus haute fonction du pays. 

Et ce, pour un second mandat.


« Une décision collective qui, confrontée à la réalité du pouvoir exercé depuis plus de quatre mois par ce président-criminel, prend surtout l’allure d’une collision prévisible entre le sulfureux personnage, la démocratie américaine et 

l’État de droit.


« Qu’il s’agisse d’ignorer les décisions des tribunaux dans les affaires d’expulsion d’immigrants illégaux ou de mettre fin à la supervision des réformes visant à contrer la discrimination et le racisme systémique dans les corps policiers, aucune pratique du gouvernement de Donald Trump, depuis son retour à Washington, ne devrait nous surprendre, résume en entrevue Timothy Golden, professeur de philosophie au Collège Whitman, joint par Le Devoir dans l’État de Washington. Le président est tenu d’appliquer fidèlement les lois des États-Unis. S’il décide de les ignorer de manière flagrante, alors c’est le gouvernement lui-même qui devient hors la loi et qui flirte avec l’anarchie. Et c’est ce pour quoi le peuple américain 

a finalement voté : l’anarchie. »


« Chaotique » est plutôt le terme qui s’est rapidement imposé, dès les premières heures de la nouvelle présidence de Donald Trump, pour qualifier ses décisions d’éviscérer l’appareil administratif fédéral, de gracier l’ensemble des insurgés du 6 janvier 2021ou encore d’intimider les médias, les universités et les cabinets d’avocats. C’est ce chaos qui a accompagné aussi plusieurs rencontres humiliantes imposées par le nouveau président à des chefs d’État étrangers, dont Volodymyr Zelensky,  au cœur même du Bureau ovale. Et c’est toujours ce chaos qui a guidé la signature à ce jour d’un nombre record de 152 décrets cherchant à concentrer le pouvoir entre les mains de l’exécutif, à marginaliser le rôle du Congrès, à défier des décisions de justice et à violer l’indépendance traditionnelle du département de la Justice, devenu une cible permanente du républicain depuis son retour à Washington.


[...]


« Hors de contrôle »

« Et ce climat délétère prouve que c’est cette présidence et ce gouvernement qui sont devenus « hors de contrôle », bien plus que ne le serait le « pouvoir judiciaire fédéral » lui-même.


« C’est ce qu’estime l’ancien juge de la Cour d’appel des États-Unis J. Michael Luttig, qui, dimanche, sur les ondes de NBC, a expliqué que les décisions des tribunaux n’étaient pas guidées par une quelconque volonté de représailles contre le président, comme Donald Trump aime le faire croire à ses militants. Elles le sont plutôt par la défense de la Constitution des États-Unis et des lois américaines par ces mêmes tribunaux face « aux actes et actions manifestement illégaux de ce président », 

a dit M. Luttig.


« J’ignore où cela va s’arrêter, mais il semble qu’à l’heure actuelle, le président ait l’intention de poursuivre cette guerre contre le pouvoir judiciaire fédéral et l’état de droit jusqu’à une finalité catastrophique », a-t-il ajouté.


« Une catastrophe annoncée aussi par l’ex-stratège politique du président Steve Bannon, qui, dans un de ses récents balados, a prédit que l’été allait être explosif. Selon lui, la bataille judiciaire alimentée par Donald Trump n’est plus seulement responsable d’une crise constitutionnelle, mais rapproche la nation d’un « point de rupture », dit-il en substance.


« Et tout ça soulève une question fondamentale, selon le philosophe Timothy Golden : « Depuis le début de cette présidence, on se demande quel message le gouvernement Trump envoie à l’Amérique, mais il faudrait plutôt se demander quel message les États-Unis se sont envoyé à eux-mêmes et au reste du monde en élisant un hors-la-loi 

à leur plus haute fonction. »


Extraits de la chronique intitulée

Il y a un an, la justice américaine a fait de Donald Trump un criminel

Fabien Deglise

Le Devoir

le 30 juin 2025


29 mai 2025

Galette de viandes hachées +

Une délicieuse manière de recycler des restes de viande qui composent ici une grande galette à servir en pointes. À une petite quantité de viandes crues ou cuites, on ajoute un peu de tofu, quelques aromates et du fromage. Une sorte de burger géant sans pain, ou de pizza à la viande sans pâte, que l’on dégustera avec des frites et une petite salsa ou encore, avec une sauce mayonnaise comme on aime.


Ingrédients pour deux

1/4 de bloc de tofu

250 g d’un mélange de viandes hachées, crues ou cuites

1 oeuf, battu

2 oignons verts, émincés finement

1/4 tasse de poivron, en très petits dés 

2 c. à soupe d’huile d’olive

2 c. à soupe de basilic frais, émincé

4 c. à soupe de panko

1 c. à soupe de sauce soya

1/4 c. à thé de poudre d’ail + 1/2 c. à thé d’épices à bifteck Montréal

50 g de cheddar fort, râpé

Sel léger si on se sert d’un mélange du commerce, du poivre au goût


1. Allumer le four à 375 °F (190 °C)  en mode convection.


2. Éponger le cube de tofu sur des essuie-tout. Dans un bol de grandeur moyenne, écraser le tofu avec les mains, ou le râper. Ajouter la viande hachée (ne pas dépasser 250 g), l’œuf, les oignons verts, le poivron, le basilic, le panko, la sauce soya, la poudre d’ail et les épices à bifteck (déjà salées). Assaisonner d’un peu de sel et de poivre. 


3. Dans un poêlon allant au four bien beurré (on peut aussi prendre un moule à gâteau bien beurré), étendre la préparation à la viande. Lisser la surface du dessus et parsemer de fromage. 


4. Enfourner et cuire une vingtaine de minutes.


5. Servir avec des frites et une salade, et accompagner d’une mayonnaise au yogourt et au cari pour faire trempette.








Un tribunal états-unien suspend des tarifs douaniers imposés par Trump



« Donald Trump perd son arme de prédilection, du moins pour l’instant. Le 47locataire de la Maison-Blanche ne peut imposer des droits de douane – comme ceux visant le Canada en lien avec le fentanyl – quand bon lui semble, tranche un tribunal commercial américain. La décision met cependant la table à une nouvelle bataille judiciaire.


« N’empêche, dans l’immédiat, le Tribunal de commerce international des États-Unis inflige un camouflet à la guerre commerciale de l’administration Trump visant à convaincre les manufacturiers de revenir massivement sur le territoire américain pour éviter d’être taxés.


« Qu’est-ce que cette décision signifie ? Dans l’immédiat, des droits de douane – comme ceux de 25 % visant certains produits importés du Canada et du Mexique, ainsi que ceux de 30 % imposés à la Chine – se retrouvent suspendus. Il en va de même pour ceux du « Jour de la libération » visant plus de 180 pays annoncés le 3 avril dernier – et qui avaient été réduits à 10 % pour la plupart des pays pour une période de trois mois quelques jours plus tard.


« Le Tribunal vient donc de lui couper les ailes sur ce front. En soirée, mercredi, le gouvernement Trump a toutefois annoncé avoir fait appel de la décision.


« Il n’est pas question ici de déterminer qui a droit à un allégement, souligne la décision de 49 pages, diffusée mercredi soir. Si les droits contestés sont illégaux à l’égard des plaignants, ils le sont à l’égard de tous. »


« Le jugement bloque ainsi l’une des principales stratégies de la Maison-Blanche, qui s’appuie sur une loi de 1977 (International Emergency Economic Powers Act), qui permet au président d’imposer les sanctions économiques nécessaires en cas d’urgence.


« Jusqu’au retour de Donald Trump dans le bureau Ovale, cette loi n’avait jamais été utilisée par un président pour imposer des droits de douane.


« Ce que le jugement dit, c’est : “vous ne pouvez pas vous servir des tarifs à tort et à travers pour vous donner une marge de négociation” », résume le professeur Richard Ouellet, spécialiste du droit international à l’Université Laval.


[...]


« Les droits de douane de 25 % qui visent les importations d’acier et d’aluminium – une mesure qui touche le Québec et le Canada – restent en vigueur, étant donné que Washington avait invoqué la sécurité nationale (l’article 232 de la Loi sur l’expansion du commerce) pour les imposer en mars dernier.


« Il en va de même pour le contenu non américain des véhicules importés aux États-Unis, qui fait l’objet d’une taxe de 25 %.


« Donald Trump avait imposé des droits de douane à l’ensemble de l’économie canadienne en mars dernier après avoir déclaré l’état d’urgence à la frontière nord en raison du trafic de fentanyl. Il avait cependant rapidement jeté du lest quelques jours plus tard.


« Les produits conformes à l’Accord de libre-échange Canada–États-Unis–Mexique demeuraient exemptés par ces mesures.


« Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il y a un gouffre absolument saisissant entre la rhétorique [de Trump] et la réalité. Les annonces, les menaces et les décrets d’un côté, et ce qui change réellement dans les faits de l’autre », note Rafael Jacob [chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM] .


« Au final, en quatre mois et demi, est-ce que tant de choses que ça ont changé ? La réponse est non », soutient-il.


« Ce revers de l’administration Trump sur la question des droits de douane devrait continuer à redonner du lustre aux marchés boursiers, qui ont eu des allures de montagnes russes depuis le début de l’année. Mercredi soir, les contrats à terme sur les principaux indices boursiers nord-américains – la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles, l’indice élargi S&P 500 et le NASDAQ – affichaient des gains notables. »


Extraits de l’article intitulé

Un tribunal américain prive Trump de son arme de prédilection

Julien Arsenault et Chloé Bourquin

avec l’Agence France-Presse

La Presse

le 28 mai 2025 à 22h 04

28 mai 2025

Bons achats en épicerie - Du 29 mai au 4 juin 2025


Bon nombre de fruits et légumes proviennent cette semaine des États-Unis, pas toujours facile de trouver des substituts, soyons vigilants. Parmi les aubaines à ne pas rater, chez Métro, les petits concombres libanais sans noyaux sont à prix très avantageux et les cuisses de poulet ne coûtent pas cher. Chez IGA, les avocats mexicains et les asperges du Québec sont à prix doux. Chez Provigo, les personnes qui cuisinent beaucoup avec de l’huile d’olive première pression à froid seront choyées, les prix ont chuté, les bouteilles de 1 litre sont à 14 $, un très bon rapport qualité-prix pour ces produits Choix du président (non pas celui du pays voisin) Chez Super C, les mûres, les champignons blancs et les poulets à bouillir sont à prix avantageux. Chez Maxi, les conserves de saumon sockeye, les poitrines de poulet désossées et les pâtes fraîches ne coûtent pas cher. Une semaine pas trop mauvaise, nos primeurs seront bientôt chez nous !


Métro

Bleuets,  É.-U 3,99 $   *IGA, membres, 2,88 $

Cerises (grosses) É.-U. 15,41 $ le kg  *Maxi, 11 $ le kg

Fraises Québec, on surveille leur arrivée !

*Pommes Qc, Cortland, Empire, McInstosh, Spartan, 2,18 $ le kg

*Raisins rouges, Chili ou Mexique, 5,38 $ le kg

*Chou-fleur, É.-U. ou Mexique, 4 $

Poivrons de couleurs Canada, emballage de 3, 5 $  *Super C, 4 x 4 $

*Salades mélangées Attitude, produites aux É.-U. ou Mexique, 3,99 $

*Shiitakes 125 g, Qc, 4,99 $ $

*Têtes de violon Qc,  227 g, 5,99 $

**Concombres libanais emballés par six Qc, 0,99  $

Crevettes sauvages d’Argentine, Irrésistible, 340 g, 20-30, membres 8 $

Filet de saumon Atlantique frais, 22,02 $ le kg, attention, format familial

*Filets de sébaste Qc, 19,82 $ le kg

*Cuisses de poulet, 4,39 $ le kg

*Hauts de cuisse de poulet désossés, 13,21  $ le kg

*Pilons de poulet, 4,39 $ le kg

*Côtelettes de porc, emballage duo ou trio, 11 $ le kg

*Filets de porc, emballés par deux, 13,21 $ le kg


IGA

*Avocats Mexique, 5 x 4 $

Bleuets É.-U, membres, 2,88 $ 

*Kiwis dorés Nouvelle Zélande, 454 g, membres 5,99 $ 

*Petits fruits surgelés Compliments Canada, 3,99 $

Asperges Qc, membres, 5,45 $ le kg

*Champignons blancs Qc, membres, 1,97 $

*Radis rouges ou multicolores Qc, membres, 1,77 $

Poitrines de poulet désossées Qc, 12,72 $ le kg *Maxi, 11 $ le kg

Porc haché maigre, Qc, 9,90 $ le kg

*Margarine Becel, Canada, membres, 5,88 $

*Fondues parmesan La Paysanne Qc, 180 g, 4 $ ?À découvrir ?

*Yogourt à boire Yop, 0,97 $


Provigo

*Bleuets 9,8 oz, Mexique ou Maroc 7 $

Kiwis Grèce, 600 g, 6 $

Jus de pomme Tradition Qc, 1,5 litre, 5 $

Melon d’eau sans pépins, É.-U. ou Mexique, env. 9 lb, 5,44 $

Noix de cajou, ou Arachides, Mélange de noix Planters Canada, 5 $

Poivrons de couleurs emb. par trois Canada, 4 $  *Super C, 4 x 4 $

= Pommes de terre Canada, 10 lb, 2 $ = Maxi

*Filets de truite arc-en-ciel fraîche, 22,02 $ le kg

*Porc haché maigre, 454 g, 5 $

** Huile d’olive pressée à froid, Choix du Président Canada, 1 litre, 12 $

Beurre Lactantia Canada 6 $

*Yogourt Activia Canada, 3,49 $

Nourriture pour chats Friskies, 0,90 $


Super C

*Ananas Costa Rica, 2,99 $

*Arachides et Canneberges, séchées, Canada, 3 $

= Avocats en filet de six Mexique, 5 $ = Métro, 5 x 4 $

*Mûres, Mexique, 1,97 $

*Oranges Navel, Maroc ou Égypte, 3 lb, 5 $

*Poires asiatiques jaunes Chine, 2,16 $ le kg

= Poires Bartlet ou Forelle, Argentine et Afrique du Sud, 4,39 $ le kg = 

*Pommes Qc, Spartan ou Empire, sac de 3 lb, 2, 55 $

Brocoli (couronne) É.-U.ou Mexique, 2,49 $  *Maxi, 2 $

*Champignons blancs Canada, 1,27 $

Coeurs de laitue romaine É.-U., emballage de 3, 4 $

*Concombres anglais, Qc, 0,99 $

*Échalotes sèches (françaises) Attitude Qc, 750 g, 5 $

*Haricots verts Canada ou Mexique, 4,39 $ le kg

*Herbes fraîches Qc, 1,49 $ voir choix

Pesto Irrésistible, 4,49 $

Poivrons doux, emb. de 4 , 4,41 $ le kg

Laitue iceberg É.-U. membres, 1,99 $

*Plants de légumes assortis, 2,50 $

= Poivrons de couleurs emb, par 4,Canada, É-U ou Mexique 4 $ =Maxi

*Tomates rouges de serre, 2,18 $ le kg

*Tomates Cerizo Savoura 150 g, Qc, 2,49 $

*Petites pommes de terre Russet à chair jaune Qc, 3 lb, 0,87 $

*Poitrines de dinde désossées, 13,21 $ le kg

Poitrines de poulet désossées Prime Canada, 13,21 $ le kg *Maxi, 11 $ le kg

*Poulet surgelé à bouillir, 4,14 $ le kg 

*Porc haché maigre Qc, 7,69 $ le kg

*Ciabatta Première Moisson Qc, 3 $

*Beurre salé Sélection Qc 454 g, 5,25 $

*Fromages Sir Laurier ou Doré-Mi (à griller) Qc. 6 $ ch

*Parmesan Irrésistible Italie, 9 $

*Yogourt grec Oîkos Qc, 5,86 $

*Yogourt glacé Iögo, É.-U. 5,99 $


Maxi

Ananas Costa Rica, 4 $  *Super C, 3 $

*Cerises rouges, É.U. 11 $ le kg

*Mandarines, Afrique du Sud, 1,5 lb, 4 $ 

*Manque Ataulfo Mexique, 1 $ ch

*Oranges Navel, Espagne ou Maroc, 4,41 $ le kg

Pêche à chair jaune É.-U. 2,76 $ le kg

*Pommes Honeycrisp Canada, 6,61 $ le kg

*Asperges Canada, 6,59 $ le kg 

*Brocoli, couronne, É.U. ou Mexique, 2 $

= Concombres anglais, 4 x 4 $ = Maxi, 0,99 $ ch.

Concombres libanais, emb de 11, 4 $  * Métro 6 x 0,99 $

= Poivrons de couleurs, emb, par quatre, 4 $ = Super C

= Pommes de terre Russet Qc, 10 lb, 2 $ (limit de 4) =  Provigo

*Tofu Fontaine Santé Qc, 400 g, 3 $

*Tomates sur vigne Canada, 2,20 $ le kg

*Crevettes nordiques surgelées, Canada 400 g, 11 $

*Saumon sockeye en conserve Gold Seal Canada, 3 $, voir choix

*Saumon fumé Dom, 50 g, 2,50 $ 

*Poitrines de poulet désossées, 11 $ le kg 

*Poulet haché ou Dinde hachée, Canada, 454 g, 8 $

*Pâtes fraîches Ziggy’s Canada, 360 g, 2,50 $

*Mayonnaise Mag, Qc, 6,49 $

*Sucre, Canada 2 kg, 2,79 $,

*Crèmes Québon Qc, 4 $, voir choix

*Feta, emballage double, Tre Stelle Canada 2 x 240 g, 7,88 $

*Yogourt Source 630 g 2,22 $

*Yogourt Activia Qc, petits formats, 4 $

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