Le poulet marengo est un classique de la cuisine française, je le faisais souvent aussi avec des cubes de veau, ce fut longtemps notre mijoté préféré, mais je ne l’avais encore jamais réalisé avec du porc. C’est chose faite et je n’hésite pas à recommander de doubler la recette ci-dessous; en cette capricieuse fin d’hiver, vous aurez de bons restes, le porc du Québec fait d’excellents mijotés.
Ingrédients pour deux
1 blanc de poireau, émincé finement
360 g de cubes de porc à ragoût
1 c. à soupe d’huile d’olive +1 c. à soupe de beurre
3 carottes fines, en rondelles
2 gousses d’ail pressées
1/4 c. à thé d’estragon séché
1/4 c. à thé de graines de coriandre moulues
1/4 c. à thé de basilic séché
1/2 tasse de vin blanc sec
1 c. à soupe comble de concentré de tomate
1 tasse de bouillon de boeuf réduit en sel, moi bouillon de champignons du commerce
1/2 barquette de champignons, tranchés
1/2 tasse de bouillon supplémentaire, additionnée de 1 c. à thé comble de fécule de maïs
Sel, poivre et paprika au goût
1. Saler et poivrer les cubes de viande et les saupoudrer de paprika. Dans un poêlon profond ou un wok, les saisir dans le beurre et l’huile d’olive de tous les côtés. Les retirer du poêlon et le garder en attente.
2. Dans le gras restant, attendrir le poireau et les carottes entre 3 et 5 minutes. Ajouter l’ail et les herbes séchées et cuire 1 bonne minute, puis verser le vin blanc et le concentré de tomate, et laisser réduire 3 minutes.
3. Verser ensuite le bouillon et remettre les cubes de viande dans le poêlon. Chauffer jusqu’au point d’ébullition et laisser mijoter très doucement, à faible intensité, durant 1 h 30.
4. Une vingtaine de minutes avant la fin de ce temps, ajouter les champignons tranchés et, au besoin, ajouter 1/2 tasse de bouillon supplémentaire en additionnant de fécule de maïs. Goûter, corriger au besoin l’assaisonnement et poursuivre la cuisson doucement encore 20 minutes.
5. Laisser reposer 5 minutes avant de servir sur des pâtes courtes, de préférence avec une herbe fraîche ou une gremolata, je n’avais plus de persil, hélas !
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