«Je rentre d’un séjour
de quatre mois et demi aux États-Unis.
Quatre mois au cours desquels j’ai assisté
à la plus désolante dégradation d’un pays
qui avait pourtant mérité,
au fil des décennies, respect et admiration.
Sur le terrain, en dehors du regard des caméras,
tout se dégrade :
le climat social, la culture politique,
les institutions démocratiques,
le moral des gens ordinaires. [...] »
Armande Saint-Jean
journaliste à la retraite
Quatre mois et demi dans un pays en déroute
Le Devoir, le 26 mars 2025
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