« Cette campagne a marqué le retour du patriotisme.
Elle a peut-être réussi à le définir, d’ailleurs.
Les Canadiens partagent avant tout ceci :
ne pas se sentir États-Uniens. [...]
La pandémie a rappelé que face à un ennemi commun,
la population se range derrière son gouvernement.
Mais elle a aussi montré qu’une fois la vague passée,
le ressac peut être brutal.
M. Carney a su inspirer confiance aux Canadiens.
C’est sur lui que les espoirs du pays reposent
Pour le meilleur et pour le pire
maintenant.
Il pourrait vite en mesurer tout le poids.»
Mandat fragile dans un Canada affaibli
Paul Journet
La Presse, le 29 avril à 2 h 06
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